On n'ose même plus ouvrir vos livres car nos larmes reviennent à nos yeux. On a pas fini pourtant de vous redécouvrir, vous décortiquer... Chaque mot nous refera penser à votre voix. Si douce, si apaisante. Comme marque page on mettra votre sourire qui nous ensoleillera nos journées de cafard. Vous nous quittez pas. Vous êtes et serez présent à nos côtés d'une certaine manière...
Bernard, il n'y a pas que nous qui sommes dans le deuil... Les méduses ont le vague à l'âme depuis votre départ. Elles sont effondrées... Et certaines n'hésitent pas à se suicider sur les plages...
La preuve ! (J'ai dit preuve pas pieuvre)
Allez Bernard, merci encore pour tous ces instants de pur bonheur qu'on a eu avec vos films, vos livres, vos interviews... Je sais que vous auriez apprécié ce trait d'humour, vous n'aimeriez pas qu'on pleure à cause de vous...
Ne pleurez pas en pensant à moi. Soyez reconnaissants pour les belles années vécues ensemble. Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin"
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire