Yves Viollier "Raymonde"

Oh Dieu, pourquoi donc en mourant ne nous as-tu pas mués en dieux ! Ma trajectoire quand je m'efforce de toute mon âme de la maintenir en droit ligne, si je me retourne elle ressemble à ces sillages laissés par les avions, dont le trait un instant précis, peu à peu se dissout, devient flou. Et tout est à refaire, tout s'efface, tout se ternit. Seigneur, donne moi un bout de ton crayon à la pointe si bien taillée, et guide ma main, que je fasse le portrait de ta création, que ce que j'écris te ressemble" Yves Viollier "Raymonde"

«Je ne suis pas assez méchante pour me donner en exemple» Sab plagiant Louis Ferdinand Céline

jeudi 26 août 2010

Carnet de Voyage, cinquième halte : Aux espagnols, PARDON !






Je me dois de faire ma Ségolène Royal en présentant mes excuses au nom du peuple français... Pour diverses raisons :

Première excuse : pour la baisse du pouvoir d'achat des gens qui vivent à la frontière. Irun, St Sebastien. Des gens forcément modestes qui subissent l'alignement de leurs tarifs à ceux de la France. Tout ceci par les marques d'hypermarchés français "Carrefour, Auchan "Alcampo". Les alcools ont augmenté tout comme les produits de première nécessité (Hygiene, nourriture). Tout ceci pour "piéger" le touriste roublard qui vient faire son "ravitaillement" mais ces neuneus de directeurs ne voient pas qu'ils pénalisent en fait la population vivant sur place. Toutes mes excuses !

Seconde excuse : Pardon de toute cette production littéraire nulle à lire et encore plus nulle à traduire. Pauvre traducteurs ! Je les plains de tout mon coeur. Traduire de Rosnay, Musso, Levy, Barbery et autres consorts cela devrait compter pour le prix Nobel ! Sérieux déjà que c'est pénible à les lire mais à les traduire, whouah c'est pas du boulot tout ceci. Mais par contre, les éditeurs de ces livres vous m'avez bien fait rire ! Les couvertures de ces livres sont particulièrement horribles et vraiment ridicules. Vous l'avez fait exprès ? JE VOUS APPROUVE ! Vous avez eu votre vengeance et c'est très bien. Mais qui voudra acheter de telles horreurs ? Dire que j'étais venue pour trouver les exemplaires en espagnol des livres d'Antoni Casas Ros... LOUPE DE CHEZ LOUPE !

Ah mais bon cela m'a fait plaisir de traverser le pont qui surplombe la Bidassoa en pensant à Luis Mariano... Et de me trouver dans sa ville natale. Irun.

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