Yves Viollier "Raymonde"

Oh Dieu, pourquoi donc en mourant ne nous as-tu pas mués en dieux ! Ma trajectoire quand je m'efforce de toute mon âme de la maintenir en droit ligne, si je me retourne elle ressemble à ces sillages laissés par les avions, dont le trait un instant précis, peu à peu se dissout, devient flou. Et tout est à refaire, tout s'efface, tout se ternit. Seigneur, donne moi un bout de ton crayon à la pointe si bien taillée, et guide ma main, que je fasse le portrait de ta création, que ce que j'écris te ressemble" Yves Viollier "Raymonde"

«Je ne suis pas assez méchante pour me donner en exemple» Sab plagiant Louis Ferdinand Céline

mercredi 21 juillet 2010

Ah ! Bernard, si vous saviez

Tout le mal que vous nous  faites...


 On n'ose même plus ouvrir vos  livres car nos larmes reviennent à nos yeux. On a pas fini pourtant de vous redécouvrir, vous décortiquer... Chaque mot nous refera penser à votre voix. Si douce, si apaisante. Comme marque page on mettra votre sourire qui nous ensoleillera nos journées de cafard. Vous nous quittez pas. Vous êtes  et serez présent à nos côtés d'une certaine manière...

Bernard, il n'y a pas que nous qui sommes dans le deuil... Les méduses ont le vague à l'âme depuis votre départ. Elles sont effondrées... Et certaines n'hésitent pas à se suicider sur les plages...

La preuve ! (J'ai dit preuve pas pieuvre)



Allez Bernard, merci encore pour tous ces instants de pur bonheur qu'on a eu avec vos films, vos livres, vos interviews... Je sais que vous auriez apprécié ce trait d'humour, vous n'aimeriez pas qu'on pleure à cause de vous...

Ne pleurez pas en pensant à moi. Soyez reconnaissants pour les belles années vécues ensemble. Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin"

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