Susan Fletcher |
Pendant que les chroniqueurs, les pseudos journalistes culturels voire littéraires font des tonnes pour des e - connes, ils ignorent totalement une vraie écrivaine. Oui les journaleux se passionnent pour des écrits vains, pour des nanas qui préfèrent jouer la posture de l'écrivain assuré de son bon pouvoir et de son succès. Je veux parler des nunuches Gavalda, De Rosnay, Miss Stéphanie Hochet (que faites vous dans cette galère mademoiselle, vous valez mieux qu'elles), Despentes, Schneck, Gallay.. Toutes ces filles que j'ai envie de leur dire "écoutez mesdames, écrivez des romans vraisemblables, vrais que le lecteur croit. Il n'y a rien de pire pour un lecteur de lire un livre dont c'est impossible de croire à l'histoire une seule seconde".
Pendant que ces dames s'étalent sur tous ce qui est presse féminine et pseudo presse littéraire, on ne parle pas de Susan Fletcher. Elle a un vrai talent d'écriture. Ses deux premiers livres sont des pures merveilles à avoir dans sa bibliothèque. Elle sait écrire. Elle a un style. De vraies histoires bien structurées, pas de bla blas inutiles. La dame est discrète, trop discrète. On est transportés dans son univers à chaque fois. Vraiment passer à côté d'une telle perle serait une erreur voire une idiotie.
Oui je suis en pétard. Depuis le 26 août son dernier livre " Un bucher sous la neige" est paru. Le voit on sur les étals des libraires ? Non. On en parle sur internet ? Non. Les journalistes en ont ils fait un article sur elle ? Non. Une vraie injustice. Vraiment. On préfère parler de filles qui sont incapables d'écrire un livre digne de ce nom. Mais qui sont de bonnes clientes pour les médias... Pauvres de nous !
Comment voulez vous que les gens n'aillent pas lire si on leur propose de la daube ? Cette chère Marianne James si elle s'occupait de littérature, dirait que les lectrices lisent avec leurs hormones et non plus avec leurs cerveaux et elle aurait raison. Je ne peux que citer Houellebecq qui prend à son compte la phrase de William Morris dans son dernier roman "Voilà en bref notre position d'artistes : nous sommes les derniers représentants de l'artisantat auquel la production marchande a porté un coup fatal". Heureusement que des blogs littéraires en parlent de cette vraie écrivaine si talentueuse...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire